Chaque jour nous offre une nouvelle preuve de l'incompétence de Melle Royale...
Cette fois-ci c'est le Québec...
Ségolène Royal et le Québec
envoyé par Cosmauxpolis
Ca devient tellement grave que cela devient dangeureux...
La polémique provoquée par les propos de la candidate socialiste sur la souveraineté du Québec a circulé très vite et suscite, des deux côtés de l’Atlantique, les plus vives réactions.
«Paris ne peut pas, à l’heure actuelle, s’ingérer dans les affaires internes canadiennes». a déclaré le secrétaire général du Parti socialiste, François Hollande. Et d’ajouter que «La France entretient une relation d'amitié avec le Québec». Plus tôt sur Europe 1, la candidate socialiste à la présidentielle avait cherché à calmer le jeu en affirmant : «je n’ai fait preuve ni d’ingérence, ni d’indifférence».
Christine Taubira, députée du Parti Radical de Gauche (PRG), a pris la défense de la candidate socialiste en indiquant qu’elle «ne voyait pas quel problème il y avait à exprimer de la sympathie pour un mouvement».
Même position pour un autre allié de Ségolène Royal, Jean-Pierre Chevènement, qui a estimé qu’elle n’avait pas dit autre chose sur le Québec que le général de Gaulle, Jacques Chirac, Philippe Séguin, Alain Juppé et beaucoup d’autres.
«Un vide sidéral»
A droite, les critiques sont acerbes. La ministre de la Défense Michelle Alliot-Marie a trouvé, pour sa part, la candidate PS «extrêmement légère sur des sujets graves et sensibles» comme les questions internationales. «Lorsque l'on parle de relations internationales, il faut faire attention à son vocabulaire» a-t-elle ajouté.
Le premier ministre canadien s’est également empressé de répondre aux propos de la candidate : «L'expérience enseigne qu'il est tout à fait inapproprié pour un leader étranger de se mêler des affaires démocratiques d'un autre pays».
Le député UMP Dominique Paillé a dénoncé le «vide sidéral» des propositions de Royal et a jugé que «l'attitude» de Ségolène Royal «de renvoi systématique», à plus tard, de ses réponses aux questions de fond devenait «de plus en plus inquiétante et de moins en moins compréhensible».
Christine Taubira, députée du Parti Radical de Gauche (PRG), a pris la défense de la candidate socialiste en indiquant qu’elle «ne voyait pas quel problème il y avait à exprimer de la sympathie pour un mouvement».
Même position pour un autre allié de Ségolène Royal, Jean-Pierre Chevènement, qui a estimé qu’elle n’avait pas dit autre chose sur le Québec que le général de Gaulle, Jacques Chirac, Philippe Séguin, Alain Juppé et beaucoup d’autres.
«Un vide sidéral»
A droite, les critiques sont acerbes. La ministre de la Défense Michelle Alliot-Marie a trouvé, pour sa part, la candidate PS «extrêmement légère sur des sujets graves et sensibles» comme les questions internationales. «Lorsque l'on parle de relations internationales, il faut faire attention à son vocabulaire» a-t-elle ajouté.
Le premier ministre canadien s’est également empressé de répondre aux propos de la candidate : «L'expérience enseigne qu'il est tout à fait inapproprié pour un leader étranger de se mêler des affaires démocratiques d'un autre pays».
Le député UMP Dominique Paillé a dénoncé le «vide sidéral» des propositions de Royal et a jugé que «l'attitude» de Ségolène Royal «de renvoi systématique», à plus tard, de ses réponses aux questions de fond devenait «de plus en plus inquiétante et de moins en moins compréhensible».
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